Accueil » Journée mondiale des Astéroïdes – Le jour où la Terre s’est arrêtée

Aujourd’hui, c’est la journée mondiale des Astéroïdes !

Quelle différence entre une météorite, un astéroïde et une comète ?

Vous vous demandez peut-être pourquoi j’ai décidé de parler de cette journée mondiale des Astéroïdes ?

Et bien tout simplement parce que je me suis demandée comment je réagirais si j’apprenais qu’un astéroïde destructeur s’apprêtait à entrer en collision avec la terre, provoquant certainement l’extinction de l’humanité ?

Peut-être ne serions-nous pas avertis ?

Peut-être ne prendrions-nous pas cette information au sérieux à l’instar du film Don’t Look Up de Netflix avec Léonardo Dicaprio et Jennifer Lawrence ?

Les gens paniqueraient-ils ou poursuivraient-ils leur vie comme si tout allait s’arranger ? Est-ce que nous en profiterions pour nous réunir en famille ou partirions-nous à la poursuite de nos rêves ?

Regretterions-nous notre vie passée ou réaliserions-nous la chance que nous avons eue de goûter à notre vie telle qu’elle était ?

Mais un Astéroïde pourrait-il réellement mettre fin à l’humanité ?

On s’est déjà tous posé la question. Non ?

Pour le moment, je vous rassure, aucune comète ou astéroïde ne menacent d’entrer en collision avec la Terre. Si c’est le cas, c’est très bien dissimulé. La Nasa et les autres agences spatiales veillent au grain grâce à des outils de surveillance très pointus.

Mais si un Astéroïde se voulait menaçant et entrait en collision avec la Terre, que se passerait-il ?

D’après David Morrison, astronome au centre de recherche de la Nasa, un corps massif de 10 kilomètres et d’une puissance de 100 millions de mégatonnes pourrait provoquer une extinction de masse. Vous avez bien lu, 10 kilomètres seulement suffiraient à provoquer un cataclysme sur la Terre entière.

L’impact provoquerait des dégâts matériels considérables. Il calcinerait la majorité des sols à plus de 700 kilomètres de son point d’impact. Il provoquerait un séisme d’une magnitude 10,4 sur l’échelle de Richter. En plus de la violence de l’impact et des dégâts immédiats, la collision dégagerait un vaste amas de poussières et de matières qui obscurcirait l’atmosphère terrestre.

Journée Mondiale des Astéroïdes

C’est exactement ce qui a provoqué l’extinction des dinosaures, il y a 66 millions d’années. Heureusement pour nous, nous disposons de meilleures connaissances et technologies que nos regrettés dinosaures.

Alors, que se passerait-il dans nos petites têtes si on nous annonçait qu’un Giga Astéroïde était en direction de la Terre ?

Cette journée mondiale des Astéroïdes peut-elle répondre à cette question ?

Pourquoi une journée mondiale des Astéroïdes ?

Aujourd’hui, ce sera la 8ème année d’existence de la journée mondiale des astéroïdes. Cette journée est en réalité une campagne d’information mondiale afin de sensibiliser la population aux risques de collision d’astéroïdes. Les Nations Unies créent la journée des Astéroïdes en 2016. Des événements sont organisés un peu partout dans le monde.

Vous souhaitez participer à la journée mondiale des Astéroïdes ?
Retrouvez les événements organisés près de chez vous.

Anniversaire de l’explosion de Toungouska

La date retenue est la date anniversaire de l’explosion de Toungouska, en Sibérie survenue le 30 juin 1908.

Le ciel est dégagé. Dans la matinée, des personnes vivant en Sibérie centrale voient passer une boule de feu au-dessus de leur tête. Il est 7h14, une importante explosion a lieu à 63 kilomètres du village de Vanavara. On enregistre un séisme de magnitude 4,5/5 à l’observatoire sismique d’Irkoust, à 1000 kilomètres de l’impact. La puissance est estimée à 10/15 mégatonnes (1000 fois plus que la bombe qui a détruit Hiroshima). En à peine quelques secondes, 2000 kilomètres carrés de forêts partent en fumée. Des incendies se déclarent et brûleront des zones forestières pendant plusieurs semaines. Le souffle de l’explosion fera des dégâts sur plus de 100 kilomètres. Il provoquera au moins 3 morts et de nombreux blessés.

Un tourbillon de poussières, de cendres et de matières va se former et déporter jusqu’en Espagne. Des phénomènes dus à cette collision seront visibles en Europe et feront la Une pendant quelques jours.

Un mystérieux astéroïde à l'origine de l'explosion de Toungouska ?

Une cause pourtant encore inconnue

Nous ne connaissons pas aujourd’hui la nature du responsable de cette explosion : Comète ou petit astéroïde, le mystère réside toujours. On estime pour l’heure que l’objet mesurait environ 50 mètres et pesait 62000 tonnes. Mais de nombreuses autres hypothèses de toutes sortes ont été émises car nous n’avons trouvé aucune preuve formelle de la chute d’un objet cosmique. Nous n’avons trouvé aucun cratère sur les lieux supposés de l’impact. Certaines théories parlent d’un micro trou noir qui aurait pénétré la Terre à la Toungouska et serait ressorti dans l’Atlantique Nord. Une autre théorie serait qu’une comète d’antimatière d’un kilogramme se serait annihilée lors de son entrée dans l’atmosphère. Enfin, il serait possible qu’un objet constitué de matière noire ait explosé en altitude.

Le mystère réside toujours.

Qu’ont bien pu ressentir ces gens qui ont vu passer cette immense boule de feu ? Qu’ont-ils pensé lorsque la Terre a vibré sous leurs pieds ? Ont-ils eu peur ? Ont-ils vu leur vie défiler ?

Journée mondiale des Astéroïdes – Une journée d’information pour le grand public

Cette journée mondiale des Astéroïdes vise à sensibiliser le public aux astéroïdes et à ce qui peut être fait pour protéger la Terre contre un événement catastrophique. Des projets de déviation d’objets frôlant la Terre sont à l’étude. En novembre 2021, la NASA a lancé la mission Dart qui testera les capacités de déviation d’un astéroïde à l’aide d’une sonde en septembre 2022.

Mission DART présentée lors de la journée mondiale des Astéroïdes

Bon, tout ça, ça ne répond bien évidemment pas à mes questions… mais ça fait tout de même réfléchir.


Pour cette journée mondiale des Astéroïdes, je vous emmène dans une micro-nouvelle aux allures d’apocalypse !

Le jour où la Terre s’est arrêtée

Cela fait maintenant 4 jours que l’annonce est tombée. Aria 376 se dirige droit sur la Terre. L’impact est prévu dans les prochaines 24 heures et le sens de ma vie a complètement basculé.

Jour 1

Lorsque notre chef d’État a pris la parole, solennellement, les mains croisées sur le bureau fermement serrées pour éviter de trembler, mon coeur s’est arrêté. C’est le teint livide qu’il annonça à la France entière qu’il ne nous restait que cinq petits jours à vivre. Pas quatre, pas six, juste cinq. La voix faible et hésitante, il regardait la caméra et expliquait qu’un Astéroïde de plus de 20 kilomètres de diamètre allait s’abattre sur la Terre. Toutes les tentatives de détournement ou de destruction avaient échoué. Le point d’impact devrait se situer quelque part en Asie et selon les scientifiques, personne ne survivrait à une telle collision. Je ne me souviens plus très bien ce que j’ai ressenti à cet instant. Mes mains sont devenues moites et mes lèvres sèchent. La télévision était toujours allumée, mais le son ne me parvenait plus jusqu’aux oreilles. J’étais tétanisée.

On dit que lorsque l’on vit nos derniers instants, on voit sa vie défiler.

C’est exactement ce qui s’est produit ce fameux soir. J’ai vu ma vie défiler. J’ai repensé à tout ce que j’avais vécu, réalisé, accompli et à tout ce que je ne ferais plus, à tous ces rêves que je n’avais pas pu concrétiser. Enfant, je m’imaginais parcourant le monde à la découverte de l’histoire accompagnée de mon âme soeur, de mon compagnon de route, allant dans une même direction. Je voulais gravir le Machu Picchu, me perdre sur l’île de Pâques ou me prendre pour une Reine égyptienne au temple d’Abou Simbel. Pourtant, j’avais aujourd’hui 32 ans, j’étais célibataire et je n’avais jamais mis un pied en dehors de la France.

Pourquoi ?

Parce j’ai été happée par les choses de la vie que je pensais normales, ces devoirs que je pensais être obligée d’accomplir. Je me devais de bien travailler à l’école, de choisir un bon emploi, qu’il me passionne ou non, de me rendre au travail 5 jours sur 7, 47 semaines par an. Il fallait ensuite payer le loyer, les factures, effectuer les tâches ménagères. Puis lorsque j’avais un peu de temps libre, je dépensais le peu d’argent qu’il me restait pour me convaincre que je ne réalisais pas tout cela pour rien. Mes envies de liberté n’ont jamais été assouvies et la routine quotidienne n’a fait que me happer, m’engloutissant un peu plus profondément chaque jour.

À tout cela, j’ajoute la pression sociale exercée par mes proches et la société pour trouver un mari et faire des enfants. « Tu es toujours locataire ? » « Attention Sophie, ton horloge biologique tourne ! » « Tu ne nous ramènes pas un petit copain pour Noël ? »

Je n’ai pas particulièrement tout réussi. Je n’ai pas trouvé chaussure à mon pied, il paraît que je suis bien trop difficile. Mais j’ai un bon job c’est vrai, peu passionnant mais il me permet de payer quelques sorties et je ne suis pas à plaindre. On me dit toujours de regarder autour de moi, que des personnes vivent dans des situations terribles. C’est vrai et pourtant, j’avais cette sensation de non-accomplissement et de frustration. Je pensais avoir le temps, maintenant, il ne me restait que cinq jours.

Était-ce vraiment ce que j’avais voulu faire de ma vie ?

Ce même soir, alors que les médias nous montraient les images de la grosse pierre qui allait causer notre perte, j’avais reçu de nombreux appels. Ma mère organisait déjà notre dernier soir de vie sur Terre. Nous allions fêter Noël avant l’heure, cousins, cousines, tonton, tata… Une vraie réception cloisonnée entre quatre murs. « Il faut nous réunir ma chérie, tu ne dois pas rester seule aussi loin de ta famille ! » Une dernière cousinade pour mon dernier jour de vie…

Jour 2

Le lendemain de l’annonce, machinalement, je suis allée travailler et beaucoup de mes collègues avaient eu le même réflexe. Si ça, ce n’était pas du conditionnement ? Finalement, après quelques longues discussions, nous avons fermé la boutique. Plus personne ne viendrait acheter de meubles. À moins d’un miracle, nous avons décidé que ces derniers jours n’appartenaient plus à notre entreprise.

Nous nous sommes fait de lourds adieux. Marie-Madeleine nous indiqua partir se réfugier avec Gigi, son chat, sur les hauteurs des Pyrénées, elle pense y avoir une chance de survivre. Des groupes survivalistes y ont déjà établi un campement. Elle nous a communiqué les coordonnées GPS au cas où on souhaitait la rejoindre. Olivier va emmener sa famille à la mer, des dernières vacances avec sa femme et ses deux enfants. Il veut revivre les meilleurs moments de sa vie, nous a-t-il dit. Quant à Pierre, il passera ces cinq prochains jours à prier à l’Église Sainte Marie.

Pour ma part, je n’avais encore pris aucune décision.

Comme chaque jour, je suis passée devant ce bar qui se trouvait devant mon immeuble. Comme chaque jour, je suis restée figée quelques instants pour contempler l’homme que je n’avais jamais osé aborder. Il servait quelques piliers de bistrot qui n’avaient rien d’autre à faire que de terminer leur vie avec quelques coups dans le nez. Il a levé les yeux vers moi. J’ai détourné le regard.

Je suis rentrée, j’ai préparé un petit sac de voyage, le strict nécessaire et j’ai claqué la porte. J’ai traversé la rue et je suis rentrée dans ce bar dans lequel je n’avais jamais tenté de poser un orteil. L’homme derrière le comptoir me regardait d’un air surpris. Je n’avais plus rien à perdre, pas même la vie. J’ai avancé jusqu’à lui, déterminée, la tête haute. Il a posé le verre qu’il essuyait et m’a longuement fixée. J’ai nette stoppé devant lui, regardé les alentours et me suis lancée sans reprendre ma respiration : « Maintenant, direction Rome, sans se retourner, juste toi et moi pour un dernier périple vers la ville éternelle. Qu’est-ce que tu en penses ? »

Mon corps tout entier vibrait d’excitation.

Jamais je ne me serais cru capable d’un tel exploit ! Mon coeur s’était emballé et ma respiration saccadée. Mais pour la première fois, je n’avais pas peur. Je faisais exactement ce que je voulais faire depuis déjà bien trop longtemps. J’allais partir à la conquête du monde avec un simple sac à dos sans me soucier de ce que les autres pourraient en penser.

Nicolas Lefebvre tenait ce bar depuis bien trop longtemps. Il travaillait 7 jours sur 7, ne comptait pas ses heures et logeait l’appartement du dessus. Il n’avait aucune vie privée. Partirait-il avec une parfaite inconnue laissant sa seule raison d’être ?

Toujours l’air surpris, il avait ôté le torchon de son épaule et posé les mains sur son comptoir. Ses beaux yeux noisette s’étaient immiscés dans les miens, imperturbables. Je n’avais su déchiffrer l’expression de son visage. Le silence pesant de ces quelques secondes d’attente me parut une éternité. Pourtant, je savais que même s’il ne m’accompagnait pas, je partirais la tête haute et le coeur léger, fière d’avoir accompli cette démarche après trois longues années à regarder cet homme sans jamais l’avoir abordé.

Il a froncé les sourcils et j’ai cru avoir perdu la première manche.

« 3 ans, Sophie, que je te regarde chaque jour t’arrêter devant la vitre ! Un millier de jours que j’espère désespérément que tu franchisses cette foutue porte ! Des dizaines de milliers d’heures que je t’imagine t’asseoir derrière ce comptoir pour commander un verre ! Autant de temps que je rêve de t’inviter à dîner… » Il s’est arrêté de parler et je me suis liquéfiée. Il connaissait lui aussi mon prénom. Tant de temps à avoir peur de mon ombre. Si j’avais su…

Il s’est tourné et a actionné la cloche accrochée juste derrière lui. « Tout le monde dehors ! Le Cargo ferme définitivement ses portes dans cinq minutes, je vous conseille de faire comme moi, vivez vos rêves avant qu’il ne soit trop tard ! »

Un peu plus de 3 jours, c’est le temps qu’il nous restait pour faire connaissance.

Pour la première fois, je n’éprouvais aucune hésitation, aucune crainte, j’étais libre ! Nous avons pris la route en direction de Rome. Les rues étaient devenues désertes, le monde s’était effondré avant l’heure. Au fond de moi, j’ai réalisé que j’étais heureuse et que je vivais mes derniers moments de bonheur. Nicolas s’est avéré être comme je me l’étais toujours imaginé. C’était lui mon âme soeur et j’éprouvais une satisfaction immense à réaliser mon premier et dernier périple à ses côtés.

Jour 4

24 heures, le compte à rebours est lancé

Dans quelques heures, nous verrons le ciel s’embraser. Surviendra alors une explosion et la terre tremblera sous nos pieds. Peut-être verrons-nous le Colisée s’effondrer sous nos yeux impuissants. C’est main dans la main que nous parcourons les rues de la Capitale Italienne. Il n’y a plus personne dehors. La plupart des logements semblent désertés. Je prends mon téléphone pour passer un dernier appel à ma famille. Les lignes sont coupées, mon téléphone est presque à plat, il ne reste que nous et les derniers instants à vivre ensemble.

Nous décidons d’établir notre campement sur une des plages d’Ostia, à 15 kilomètres de Rome. Il fait beau, le ciel est dégagé. Nous ne sommes pas seuls, d’autres personnes ont eu la même idée. Nous sommes allongés sur une couverture qui sera notre dernier havre de paix. Au loin, j’ai l’impression d’apercevoir une sirène, puis je me rends compte qu’il s’agit d’une divinité. Non loin, sur la falaise, un homme armé d’un trident semble avoir surgi des flots. Imposant et majestueux, il a un côté rassurant la tête légèrement inclinée pour regarder les vagues. Est-il ici pour nous protéger ou nous accompagnera-t-il dans notre dernière demeure ?

1 heure

J’écris un long et doux message d’adieu et d’amour à ma famille qui ne partira malheureusement pas. Nous contemplons le ciel et le soleil qui se couche doucement. Pendant cette dernière heure, nous nous dévoilons l’un à l’autre, rattrapant chaque minute que nous n’avons pas passée ensemble. On ose même faire des projets. Et si on survivait ? S’ils se trompaient ? Si l’Astéroïde ne causait pas autant de dégâts qu’ils le prévoyaient ? Peut-être aurions-nous dû rejoindre Marie-Madeleine dans les montagnes ? Malgré les circonstances et les prédictions, nous ne pouvions nous empêcher d’espérer et de croire que ce serait possible. Nicolas avait même emporté avec lui un Talkie-Walkie. « Si on survit, ce truc nous sera peut-être très utile. »

Puis le ciel s’éclaire, se pare de cette couleur orangée tant redoutée. Les yeux tournés vers la boule de feu qui vient de pénétrer l’atmosphère, une larme s’échappe. Elle représente les regrets de cette vie passée, la tristesse de perdre mes proches mais aussi le bonheur de mes derniers choix et la chance d’être avec l’être aimé. Je ne pouvais rêver meilleur endroit pour vivre mes derniers instants.

Nicolas me fit détourner le regard pour déposer un tendre baiser sur mes lèvres tremblantes. Je ne veux pas que tout s’arrête, pas maintenant. Je n’ai jamais eu autant envie de vivre qu’à présent, face à cette mort imminente. C’est blottie dans les bras de Nicolas que nous ressentons la puissance de l’impact. L’objet a percuté la terre, le ciel s’est de nouveau assombri. C’est maintenant que tout va commencer. Je m’efforce de garder en mémoire cet instant précieux avant de vivre les heures les plus sombres de toute ma vie.

The end

À aucun moment de notre vie, on ne peut s’imaginer vivre l’apocalypse. Je ne me suis jamais préparée à l’impact d’un Astéroïde, à un raz de marée ou à un tremblement de terre. On vit comme si on avait toute la vie devant nous. Et si on vivait simplement, chaque jour, comme si c’était le dernier ?


La journée mondiale des Astéroïdes touche à sa fin et j’espère que cette petite nouvelle vous a plu.

Pour ma part, j’ai décidé de revenir plus régulièrement sur mon blog pour me faire plaisir et écrire. Faire quelque chose sans rien attendre d’autre en retour que de s’épanouir… Alors aujourd’hui, j’avais simplement envie d’écrire sur cette journée spéciale Astéroïde, d’imaginer la vie de Sophie et de reprendre l’écriture telle que je l’apprécie, sans pression, sans obligation, juste parce que j’en avais envie. On se retrouve très vite, c’est promis !

Pour toi, qui débarques sur ce site et qui te demandes qui je suis, c’est par ici !

Bonne journée mondiale des Astéroïdes à tous et à bientôt.

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